Début novembre, Paola Lanfranchi du Centre méditerranéen de la communication audiovisuelle (CMCA) est venue présenter le projet et les films en classe, en français … et en italien !
Tout au long du mois, les élèves ont visionné les quatre films du palmarès :
Electro Chaabi sur le mouvement musical qui a accompagné le printemps arabe au Caire ;
Le Droit au baiser qui s’interroge, dans différents quartiers d’Istanbul, sur la sexualité avant le mariage ;
Murge the cold war front, sur la découverte d’essais nucléaires dans la région des Pouilles en Italie pendant la guerre froide ;
et enfin une enquête sur les raisons de la fermeture de l’ERT, la radio-télévision publique grecque : Le Signal perdu de la démocratie.
C’est ce dernier film que les élèves de l’UPE2A ont voulu défendre le 2 décembre à la Villa Méditerranée lors de la rencontre avec les autres classes participant au Prix jeune public. Chaque classe était représentée par un ou deux élèves : pour l’UPE2A c’est Gegush (1ère STMG2) qui a assumé ce rôle, prenant la parole devant plus de 400 personnes.
Sans surprise, c’est Le Droit au baiser qui a emporté largement le suffrage des lycéens, suivi par Electro Chaabi. Mais Le Signal perdu de la démocratie n’a pas été lésé : le 12 décembre, lors de la cérémonie publique de remise des prix, parrainée par l’écrivain algérien Yasmina Khadra, il a reçu le Prix du Meilleur Reportage.
Grâce à Liudmila (1ère STMG2) et sa sœur Lisa, toutes deux hellénophones, les élèves de l’UPE2A ont pu échanger avec son réalisateur Yorgos AVGEROPOULOS et lui adresser leurs félicitations.